Les marchés financiers Islamiques
Sur le marché financier islamique primaire, les entreprises ont la possibilité de lever les fonds nécessaires à leur projet sur le principe de la comparaison des anticipations de profits des différents fonds alloués. On distingue les deux marchés financiers primaires et secondaires: le premier qui est un lieu de rencontre entre les entreprises qui émettent des titres afin de réclamer des fonds et de l'autre coté on retrouve les offres de fonds qui émanent des nombreux établissements bancaires.
En finance islamique l'émission des actions sur le marché se fait via des contrats dits de Moudaraba: en effet ce type de contrat prend la forme d'une société de participation dans laquelle on pourrait distinguer les 2 parties: la première qui investit le capital et la deuxième qui propose un savoir faire. La méthode de distribution et la date de début de négociations de titres doivent être bien figurer dans le prospectus pour éviter tout élément d’incertitude.
Sur le marché financier islamique primaire, les entreprises ont la possibilité de lever les fonds nécessaires à leur projet sur le principe de la comparaison des anticipations de profits des différents fonds alloués. Cette comparaison se fait grâce à l’accumulation et à la diffusion par le marché financier, de l’information relative aux entreprises. Il en résulterait une amélioration de la répartition, de l’allocation des fonds car du fait de la sélection, ceux-ci alimenteront les projets les plus rentables. Ce qui est mis en valeur ici, c’est l’efficacité hors pair d’un système d’allocation des ressources fondé tout d’abord sur la rentabilité des placements effectués dans le secteur réel de l’économie.
Le développement du marché primaire exige cependant le développement simultané d’un marché secondaire. Ce dernier permet en effet de satisfaire la préférence pour la liquidité des épargnants détenteurs de titres financiers, en leur présentant la possibilité de les vendre rapidement. D’où le placement pour le long terme, d’une masse plus importante d’épargne. La négociation des produits financiers est tolérée dans l'islam et les prix vont être soumis aux lois de l'offre et de la demande, mais les activités de spéculation sont interdites. Cependant, les placements ne sont pas sans risques : risque de faillite de l’entreprise et risque lié à la capacité de l’entreprise d’engendrer des profits.
En finance islamique l'émission des actions sur le marché se fait via des contrats dits de Moudaraba: en effet ce type de contrat prend la forme d'une société de participation dans laquelle on pourrait distinguer les 2 parties: la première qui investit le capital et la deuxième qui propose un savoir faire. La méthode de distribution et la date de début de négociations de titres doivent être bien figurer dans le prospectus pour éviter tout élément d’incertitude.
Sur le marché financier islamique primaire, les entreprises ont la possibilité de lever les fonds nécessaires à leur projet sur le principe de la comparaison des anticipations de profits des différents fonds alloués. Cette comparaison se fait grâce à l’accumulation et à la diffusion par le marché financier, de l’information relative aux entreprises. Il en résulterait une amélioration de la répartition, de l’allocation des fonds car du fait de la sélection, ceux-ci alimenteront les projets les plus rentables. Ce qui est mis en valeur ici, c’est l’efficacité hors pair d’un système d’allocation des ressources fondé tout d’abord sur la rentabilité des placements effectués dans le secteur réel de l’économie.
Le développement du marché primaire exige cependant le développement simultané d’un marché secondaire. Ce dernier permet en effet de satisfaire la préférence pour la liquidité des épargnants détenteurs de titres financiers, en leur présentant la possibilité de les vendre rapidement. D’où le placement pour le long terme, d’une masse plus importante d’épargne. La négociation des produits financiers est tolérée dans l'islam et les prix vont être soumis aux lois de l'offre et de la demande, mais les activités de spéculation sont interdites. Cependant, les placements ne sont pas sans risques : risque de faillite de l’entreprise et risque lié à la capacité de l’entreprise d’engendrer des profits.