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Actualités

Crise de la dette : qu’en est-il des pays musulmans?

1/17/2012

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Bien que cette décision était attendue, la France a ce vendredi 13 janvier perdu son triple A. La dégradation officielle de la notre française est un véritable coup de massue tant au niveau économique que politique. Au plus haut sommet de l’Union Européenne, des débats récurrents liés à la crise financière actuelle remettent en question le pacte de stabilité et de croissance. Un accord ayant pour objectif la coordination des politiques budgétaires nationales de la zone euro afin d’obtenir à long terme des « budgets proches de l’équilibre ou excédentaires ». Notons que la France n’est pas le seul État a avoir perdu un cran dans sa note puisque neuf États européens sont concernés par cette dégradation.

Alors que l’Union Européenne et plus largement, les États occidentaux comme les Etats-Unis sont à la recherche d’une solution à cette crise qui semble s’inscrire dans la durée, qu’en est-il du côté des pays musulmans ? La crise créé-t-elle chez eux autant de remous ?

Des dettes moins prononcées
Au premier abord, et en raison de l’interdépendance des systèmes financiers des États, les répercussions sont inéluctables mais moins néfastes que pour les États occidentaux. Ces répercussions sont visibles essentiellement chez les États partenaires économiques de premier plan des pays européens tels que l’Egypte, la Tunisie, et le Maroc. Ces trois États détiennent un taux d’endettement assez important qui sont respectivement 73%, 40,4% et 51% du PIB.

En effet, en observant les chiffres de la dette publique de la majorité des pays musulmans, on peut constater que la solidité financière du gouvernement à savoir, les démarches mises en œuvre pour le désendettement de ces États est plutôt bonne.

Notons tout de même une grande hétérogénéité entre le taux d’endettement des différents États : celui de la Jordanie est de 66,8%, alors que ceux de l’Algérie, du Koweït, et de l’Arabie Saoudite avoisinent les 10% du PIB. Quant à la Libye, sa dette publique est nulle ! Bien évidemment, la manne pétrolière contribue cet état de fait en une réserve de devises pour les pays producteurs et exportateurs .

Notons enfin, que l’Irak détient une dette publique conséquente estimée à 119% découlant évidemment de sa situation politico-économique actuelle et du coût de la reconstruction de ses infrastructures à l’issue de la guerre déclenchée en 2003.

In fine, on constate que les dettes publiques des États musulmans restent bien moins élevées que celle de l’Union Européenne estimée à 80,1% (la France étant même au-dessus avec 82,3%) ou celle des Etats-Unis (94%).

Toutefois, la situation des pays touchés par la vague de révolutions initiée au printemps dernier appelle à la vigilance. En effet, les investissements étrangers dans ces États risquent d’être réduits, voire inexistants en attendant une stabilisation de leur situation politique intérieure. A cet égard, l’agence de notation Standard & Poor’s ne note pas les États qu’elle estime risqués pour des investissements étrangers. C’est le cas par exemple de l’Algérie ou de l’Iran qui ne figurent donc pas dans le classement de notation.

Ces constats nous amènent à une interrogation plus globale relative à la fiabilité de notre système financier mondial basé sur les principes du capitalisme. Ce système qui semblait être le moins mauvais est désormais remis en cause. Ainsi, on pourrait se demander si parmi les alternatives à la crise financière actuelle, la finance islamique serait-elle une solution envisageable ?

La finance islamique : un avenir prometteur ?
Bien que réactivée récemment (les premières banques islamiques ne datant que des années 1970), la pratique de la finance islamique qui concerne essentiellement les banques et quelques institutions financières est de plus en plus importante. Cependant, au niveau des échanges financiers interétatiques, elle est encore quasi inexistante en raison de la difficulté de convergence, et de l’interdépendance des banques. En effet, le système financier conventionnel prédomine, d’où la difficulté pour les États musulmans d’éviter les intérêts.

Pratiquée d’abord au sein de pays musulmans mais de manière interne, la finance islamique est désormais présente dans des pays non musulmans afin de répondre à une forte demande de consommateurs (comme en France qui compterait environ 4 à 5 millions de musulmans) même si elle est encore qu’à ses balbutiements. Basée sur des principes moraux (l’argent n’est pas une fin en soi mais un moyen, concurrence plus saine et loyale) elle pourrait permettre d’abolir la spéculation, les intérêts, et l’usure.

En clair, elle pourrait peut être apporter un peu plus d’éthique dans le système financier mondial. La finance islamique a le vent en poupe mais… dans les sphères privée (banques) et, intellectuelle (débats, formations, etc). Reste à savoir si elle peut jouer un rôle clé sur la scène internationale.

source: ajib.fr
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