
Le secrétaire général de l'OAT, Mokhtar Ould Mohamed El-Amine, a présenté à la presse cette possibilité de souscrire à des polices d’assurance concernant un investissement émanant ou en direction de tous les pays membres, où qu’ils se trouvent dans le monde, à condition que le projet en question ne soit pas en contradiction avec la religion (il peut être nouveau ou juste pour son extension).
Les prestations offertes, en outre, sont une assurance contre des risques politiques et concernent l’investissement en guise de garantie de crédits. Les dossiers sont, bien entendu, adressés à l’OAT et ne peuvent être avalisés s’ils ne disposent pas de l’accord des pays dont ils émanent, comme il est souligné par les intervenants. Le SG de l’OAT a, par ailleurs, attesté de la disponibilité de son organisation d’assurer des formations qualifiantes et diplômantes à la charge de l’OAT pour peu que le besoin soit exprimé par le pays intéressé. Il a reconnu aussi que le secteur privé algérien a très peu bénéficié des opportunités qu’offre l’Iciec.
Que cela soit fait sciemment ou par méconnaissance, cela n’empêche en rien de démontrer toute la faiblesse de nos institutions et le manque de communication, notamment envers le secteur privé.
Quoi qu’il en soit, l’OAT s’investit aujourd’hui dans un programme intitulé “La campagne touristique arabe” qui se décline en plusieurs actions dont notamment la réalisation de plusieurs émissions de promotion sur ce qu’abritent nos pays respectifs en trésors historiques et touristiques, d’éditer une encyclopédie arabe du tourisme et d’encourager la réorientation des investissements entre pays arabes.
source: Liberté Algérie