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Actualités

Le succès de la finance islamique pourrait venir du microcrédit

6/7/2010

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Incontestablement, le succès de la finance islamique pourrait venir du microcrédit. Solution qui, selon les théoriciens de la finance islamique, peut venir à bout des exclus de la bancarisation, sachant qu’«elle valorise le talent, basé sur la traçabilité sociale du bénéficiaire et non pas sur ses capacités financières», indique Dr Dia, membre fondateur de Fayda Finance Development, spécialisé dans la formation, appui et conseil aux institutions financières.
Les «sukuks» (actifs islamiques) qui sont disponibles à travers le monde se chiffrant à 1.000 milliards de dollars n’attendent qu’à trouver placement, mais «à condition que ce soit dans des actifs tangibles», rappelle Dr Dia. En plus de cette taille du marché, le taux de croissance annuel est estimé entre 15 et 20%. Une offre qui pourrait capter la moitié de l’épargne islamique.

 
Produits soumis à conditions


En attendant, le modèle le plus probable (qui a donné ses fruits dans certains pays, notamment en Malaisie et en Indonésie) est expérimenté dans les partenariats public/privé en BOT (buld own transfert), consistant à rétrocéder le bien au patrimoine public, une fois le bail arrivé à son terme.
C’est dire que, de manière générale, les produits financiers dits «halal», comme solution au déficit d’épargne dans les pays musulmans, sont de plus en plus évoqués dans le système bancaire conventionnel. Mais ils pèchent par les a priori faits autour d’eux.
Au Maroc où quelques rares banques, notamment Attijariwafa bank, essaient de les implémenter, ces produits sont soumis à conditions. Ainsi, Bank Al-Maghrib interdit formellement de faire référence lors des campagnes de communication et de promotion à la connotation religieuse des produits de finance islamique. Or, cette interdiction est très contraignante car le label halal est l’argument principal de vente de ces produits.
Des contraintes intrinsèques gênent également le développement de ce modèle que l’on dit alternatif ou complément au système conventionnel. Le droit musulman rejette l’activité d’intermédiation bancaire traditionnelle fondée sur la création monétaire donc de transformation des échéances, entre autres. La rémunération fixe et prédéterminée du capital comme contrepartie d’une opération de prêt est assimilée à de l’usure (riba). Les banques islamiques ont dû développer des modèles alternatifs de mobilisation de l’épargne et d’allocation des ressources en fonction des besoins de financement de l’économie, excluant notamment la rémunération du capital investi lié au seul effet du temps
.

Source : Leconomiste
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